Essayons de faire court, car ceci est un extrait du roman que j'écris. Il ne débute pas ainsi, mais je pensais l'inclure plus tard, dites moi si mon style est convenable ?
De plus, je suis un jeune homme (enfin je crois, sait-on jamais ), et j'endosse le rôle d'une jeune demoiselle, alors je ne sais pas trop comment faire, quoi trop penser. Mesdemoiselle, si vous trouvez que j'ai trop de préjugés, faite le moi savoir.
Ah oui, aussi, je n'ai pas encore tout à fait fini de prévoir l'écrit, je laisse allez ma plume, je compte sur votre participation pour me proposer quelques trucs. Si les idées me plait, je vous le fait savoir, et vous demande si j'ai le droit de piquer votre pseudo pour mon bouquin pour un nom de perso pour vous remercier... Oui, j'ai la flemme d'en cherchez


Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants. J'aime quand ces histoires se terminent de cette façon. Mais la mienne ne fait que commencer sur cette phrase. Mes parents vivaient heureux eux aussi, et ont eu beaucoup d'enfant saussi, même trop. Et moi je suis la petite dernière de la famille. Ma mère a choisi de me mettre en internat, mais je sais que je n'étais pas désirée. Alors cela fait 14 ans que je vis dans cette même chambre à l'école de magie et combats de Maëft. Mon nom est Pyralafia, dit "la fille du vent". Mes occupations ne varient pas souvent, travailler mes glyphes, ou alors montrer les lieux aux nouveaux. Ma véritable passion est le dessin. Combien de garçons aiment ces séances ? A vrai dire toute la classe. Ma prof voulant que je pose pratiquement nue. Mais je ne peux dire non, car c'est après que tout ce joue. Allez se redessiner avec comme seul support son souvenir de sa position.

Pourtant, ces derniers temps, je me sens de plus en plus mal. Ce n'est pas que je suis malade, mais, depuis quelques semaines, mon corps subit réellement des transformations. Ma poitrine prend et de l'ampleur, mes hanches s'élargissent, mais pourtant je ne me sens pas encore femme. Et cela est vrai que, en écoutant les discussions des autres filles de l'institut, je me sens véritablement à l'écart. Chacune d'entre elles se détruisent intérieurement en vivant amourette sur amourette. Et ensuite, elles se rassemblent pour critiquer tous les garçons qui sont ou étaient dans leurs bras. Pourquoi ? Quel est l'intéret. On m'a déjà répondue que c'est pour le plaisir du moment. Mais, je remarque que ces "Juliette contrariées" se font plus de mal que de bien avec ces histoires. Moi ? Et bien j'attends le véritable amour. Mais actuellement, vu comment je me présente, c'est à dire en pantalon et T-shirt, les cheveux noirs avec une simple mèche violette comme apparat, je ne risque pas de le trouver.

Peu importe, je compte bien partir cette année. Et oui, car un tounoi à mort est organisé cette années en l'honneur des 100 000 ans de l'accord entre Dragons et Humains. Ce type d'affrontement est souvent remporté par le clan de Ecailles, et il n'a laissé échappé la victoire que 2 fois. Je compte donné mon maximum pour tenir le plus longtemps, même si aucun homme en vérité n'a gagné. Ce n'est pas vraiment que je recherche à mourir, mais pourquoi je m'obstinerais à perdurer si je n'ai pas ma place en ce bordel de monde. Le tournoi a lieu dans 2 semaines, et nous procédons actuellement aux phases qualificatives car seul 5 combats aura lieu. Le garçon le plus fort de l'établissement a déja sa place. Moi je combat pour la dernière. Mon point fort ? Ma vitesse et celle de mes coups. Pourtant je sais que cela ne sera pas suffisant si j'affronte un dragon, mais je ne sais pas quoi utiliser d'autre. Mon adversaire est trop lent à mon gout, je l'efface du tableau en quelques secondes. Une seule glyphe aura suffit à le mettre hors combat. Car oui, je n'utilise pas d'arme proprement dite, mais je ne combats qu'à partir de glyphes posées sur un support la plupart du temps, celle restant en l'air étant vraissemblablement instables.

Personnellement, j'aime bien ton style, assez fluide. Il y a juste un point qui persiste: tu commets quelques fautes de conjugaison :/

Rohhh, toujours pareil, j'aime pas la conjugaison en plus je ne me suis pas relu, attends je m'en charge tout de suite

Pour mon style, tu connais la méthode "écrit ce qui te passe par la tête", ba merci, je sais au moins que ce type d'écriture me convient.