17/12/2011. Aujourd'hui c'est comme tous les jours. Il fait beau, ou plutôt gris avec un petit rayon de soleil, c'est un bon jour. Noël approche, avec ses cadeaux, ses joies, ses bonnes humeurs. J’attendais une trottinette.
Une belle trottinette, noire avec des coloris bleus, pliable normalement, elle me semblait bien, dès que je l'ai vu, le coup de foudre.
Une semaine après. On est le 24! Je suis surexcité, ma trottinette, bien entendu je ne crois pas au Père-Noël qui nous amène des cadeaux, moi j'ai 13ans, je suis né le 29 Novembre 1998, donc j'aurai mes cadeaux a minuit. On installa un lit pliable qui était posé sur un socle a roulette, ce lit est assez large pour moi et il est aussi plutôt confortable. Puis on commença le repas, il y avait mes oncles, enfin mes deux oncles, et mes deux tantes.

Nous sommes en Normandie, la mer, bien entendu j'y vais qu'en été. Bon revenons a nos moutons, il y a mes parents aussi, qui me disaient: « Alors, tu aimes ce foie gras? 
-Oui je l'aime merci
-Tu veux de la salade? Demanda mon père, Il y a de la Mozzarella.
-Oui papa, quelques feuilles s'il te plaît. » Répondis-je.
Je les aime, bien entendu se sont mes parents.
Peu de temps après j'entendis: « Les enfants! Au pieux! » Le pieux c'est le langage familier de lit je crois, sa m'étonne de ne pas savoir ça, combien de fois je l'ai entendu ce mot. Enfin, cette phrase je l'adorais, mais, c'est a ce moment là, que le temps passe moins vite, on voit tout au ralentit.
23H00. Encore 1H00 à attendre ce moment, cela fait exactement 1H00 que mes cousins se sont couchés. Ma trottinette, je l'aime déjà.
Après, Je me fiche de tout ! Je préfère ma trottinette.
00H00. Mes cadeaux ! Enfin, je suis surexcité. J'ai commençais par ouvrir le plus petit des cadeaux. Un portable ! En-fait, c'est mon Noël préféré. Ensuite j'ai eu... Des rollers, bof, mais bon vaut mieux essayer. Et enfin le plus long. Ma trottinette ! Du coup je réclame a mes parents :
« Je peux en faire ? Sil vous plaît !
-Valentin il est minuit. Tu en fera demain. Protesta ma mère.
-D'accord, tu peux me donner mon portable sil te plaît ? Je vais le découvrir. » Ben oui ! Un portable tactile, comparer à un portable à coulisse ça change.
Après avoir tester mon portable j'ai découvert une musique, enfin une sonnerie. C'était répétitif et très vite agaçant, je l'ai arrêtée. « Valentin au pieux! S'exclamèrent ma mère et mon père en chœur.
-Et demain on ira au Port faire de la trottinette? Demandais-je surexcité.
-On verra on y est pas encore. Affirma mon père ».
Le lendemain le 25/12/2011 à 10H00. OUAH! Ça fait du bien de bailler. Aujourd'hui c'est le jour ou je vais au Port faire de la trottinette! Mais pour ça il faut attendre que mes parents et tout le monde se lèvent. Mais ce matin c'est mon Arrière-Grande-Mère qui m'a réveillé en allumant la lumière de la cuisine qui faisait un bruit infernal; on peux compter 2 à 3 secondes entre le temps qu'on appuie sur le bouton et le temps ou la lumière s'allume, et entre ces 2 à 3 secondes il y avait ce bruit. « Tu déjeune quoi toi Valentin?Me demanda mon Arrière-Grande-Mère
-Je déjeune du CAPPUCHINO mamie. Répondis-je.
-Je n’ai pas de CAPPUCHINO.
-Alors du café au lait, ça mira. » J'appelle mon Arrière-Grande-Mère mamie pour abréger.
10H30. Enfin. Après avoir attendu une-demi heure, mes parents se levèrent.

Ils n'ont même pas eu le temps de dirent bonjour que je leur sautèrent dessus, je les embrassaient chacun leur tour avant de prendre mon portable et de bombarder mes copains de messages en tous genre, comme: « Joyeux Noël, j'ai eu ma trottinette! » ou bien « Salut ça va? J'ai un nouveau portable et il a un clavier, trop cool! ».
Ensuite ils me répondaient souvent la même chose: « Joyeux Noël a toi aussi, cool elle est comment ta trotti? » ou encore « Salut oui ça va et toi? Il ressemble a quoi? ».
Mon portable était le Samsung B3410 en blanc et bleu. Je le trouvais bien, au même moment où je commençais a ranger mon téléphone, ma mère arriva avec un papier où il y avait les numéro de « toute » la famille.
Je sorti de mon fauteuil et c'est a ce moment où je demandais si on pouvais aller au Port après qu'on est mangeai. « Alors on pourra y allais? Réclamais-je » Mon père se dirigea vers ma mère et elle fit oui d'un signe de tête. « Tu as t'as réponse Valentin, c'est oui. Répondit-il » Le bonheur me pris et je fini par sauter dans tous les coins de la cuisine.
13H00. On a fini de manger, Mes parents se préparaient, je prit ma trottinette, neuve, et je la mit dans la voiture. Quand mes parents avaient fini de se préparer, ils prirent un sac. Que cachait ce sac?
Quand nous sommes entré dans la voiture, mes parents m’ont dit: « Valentin, ça ne serais pas mieux avec tes rollers? » mes rollers? Ah oui! Mes rollers que j'ai eu a Noël! « Ah oui! Je vais les chercher!
-Pas besoin ils sont dans ce sac. » Mes rollers étaient dans ce sac!
Nous sommes arrivé au Port. Je prit m'a trottinette et mes parents le sac qui contenait les rollers. Je vais vite sur cette trottinette, je tourne sur moi même avec une roues, je saute, fais des allers et des retours pour attendre et accompagner mes parents.
14H00. Quand nous avons fini cette balade, j'ai demandais a mes parents: « Aller! On refais avec les rollers maintenant?
-Non Valentin! Rétorqua mon père
-Pourquoi? Suppliais-je.
-Ils se fait tard. Nous rentrons. Continua-t-il. » Arriver chez mes Arrière-Grand-Parents, je pris le sac, j'ai retiré les patins et je les mirent.
J'en avais déjà fait moi du roller. J'avais 4 ou 5 ans, j'avais autant d'équilibre qu'au moment ou j'écris ces lignes.

Chap.2
L'heure du roller

Je pris mes patins de mains ferme tout en mettant mes pieds a l'intérieur. Je les aient!
Je sorti dehors les essayer. C'était l'heure de vérité. Je roule, je roule, je saute, je fais un 180° et je me rattrape de justesse. Mon cœur qui battait. J'adorais et j'adore toujours cette sensation.
Je me remit devant la porte pour essayer de le refaire, Je roule vite, arriver au point fatale je me lance, je fit donc un 180° et puis un autre tout en restant en l'air. J'ai fait un 360°! Je couru pour avertir mes parents, mon père se déplaça pour venir me voir. Donc j'ai recommencé j'ai roulé aussi vite qu'avant et arriver au point culminant je me suis lançais. Je crois même que c'est à ce moment ou j'ai senti mon cœur battre à toute vitesse. J'avais refais un 360°. On aurais dit que avant que je touche le sol j'avais vu ma vie avant que je connaisse le roller; c'était fade.