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 [ONESHOT] Zommari, Maître de la foudre.

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Zommari
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Zommari

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[ONESHOT] Zommari, Maître de la foudre. Empty
MessageSujet: [ONESHOT] Zommari, Maître de la foudre.   [ONESHOT] Zommari, Maître de la foudre. EmptySam 1 Oct - 11:45

C'est dans la belle région flottante d'Incarnam que naquit il y a 17 ans un petit disciple Iop. Il grandit heureux jusqu'à l'âge de six ans. Ses parents, durant tout ce temps, avaient remarqués que leur fils était très spécial: au lieu de jouer à la bagarre comme les autres iops, il aimait se creuser la tête et faire des acrobaties partout dans leur petite maison d'Amakna. Il fit abandonné par ses parents à cette période là, qui n'acceptaient pas un fils de la race d'iop qui ne soit pas une bête de force brute, comme eux. Il fut sauvagement jeté dans une rivière de Pandala, après avoir été enrobé d'un drap.

C'est le maître Pandawushu de Pandala Air, l'expert des techniques nécessitant l'agilité, qui le trouva. Il rendit l'enfant encore plus agile grâce à un entraînement intensif. Cependant, son maître découvra un beau jour que Zommari avait une intelligence prodigieuse. Il apprit petit à petit que son élève était exceptionnel et décida de combiner les connaissances de son petit protégé, Zommari mélangea donc son agilité et son intelligence et pu ainsi connaître la puissance de la foudre ! À coup d'épées célestes et de tempêtes de puissances, il grillait tous ses ennemis sur place, c'est à dire les monstres autour du temple, et sa puissance s'amplifia lorsqu'il grandit, il lut des parchemins, augmenta la puissance de ses sortilèges, optimisait son équipement, tout cela sous l'oeil attentif de son maître, qu'il considérai comme son père. Impressionné par ses progrès, il lui proposa un défi, et Zommari accepta.

C'était le iop qui commença le combat, il lança tous ses sorts de boost, puis le pandawa lui jeta quatre vulnérabilités venteuses puis se saoûla. L'apprenti les ignora et électrocuta son maître avec une épée céleste puis deux tempêtes, son adversaire le cogna trois fois contre le mur grâce à son souffle alcoolisé. Zommari lui asséna le coup de grâce avec deux épées du jugement. Le propriétaire du temple était fier de son élève mais déçu: il n'avait jamais été vaincu.

Le lendemain, Zommari, après s'être étiré et baillé, chercha son maître dans le temple, en vain. À la place, il trouva un petit mot:

'Mon cher Zommari, je me suis rendu compte qu'après notre combat d'hier, j'ai beaucoup de choses à apprendre, je dois m'endurcir comme je t'ai endurci, je compte sur toi pour être le meilleur du monde des douze, bats toi, ne laisse personne obstruer ton chemin vers la victoire, je te confie ce temple du temps que je suis en voyage d'endurcissement, à condition que tu le tiennes propre. Je te fais confiance.' Zommari laissa couler une larme, qui mouilla la feuille. Il la posa contre sa poitrine, leva les yeux au ciel, et pria les dieux du monde des Douzes de garder son maître en sécurité et de tout faire pour le revoir.

Un ans plus tard, c'est à dire lors de son seizième printemps, Zommari s'était habitué à sa belle vie. Il gagnait sa vie en vendant les céréales qu'il coupait et le pain qu'il revendait. Il mangeait grâce à son meilleur ami qui était boucher et poissonnier. Il passait ses soirées au temple avec sa petite amie, une sacrieuse eau, ou bien avec ses amis, en donjon. Il gagnait de l'expérience en traquant les soldas brâkmariens, et par ce fait, se fit beaucoup, beaucoup d'ennemis. Après avoir décimé la quasi-totalité de ses cibles, le chef de la milice Oto Mustam avait remarqué que quelque chose clochait, et extirpa la même mot de la bouche de tous les vaincus:"Zommari".

Pour mettre un terme à ce massacre, il décida de suivre Zommari le soir, et attendit son sommeil. Il en profita pour mettre le feu au temple, sans aucune pitié. Zommari se réveilla en sursaut et distingua à travers les flammes sa petite amie, il ne chercha pas à comprendre, la prit sur son épaule alors que les flammes ravageaient le temple, et se jeta dans la rivière au pied du temple. Le feu était éteint, tout comme l'étincelle dans les yeux de son amour. Il la secoua, l'air incrédule:

-Non ! Non je t'en prie réveilles toi ! Tu peux pas mourir c'est pas possible !

Son pouls stoppé, Zommari se rendit à l'évidence: sa petite amie avait péri dans les flammes. Il repensa à tous les moments qu'il avait passés avec elle, les moments de tendresse, de rigolade, la vie commune, toutes les petites attentions, les biens partagés... Tout ça serai effacé pour toujours, il était désormais seul. Zommari avait fait éteindre les flammes grâce à des habitants de Pandala eau à proximité qui balançaient des vagues déferlantes comme des pompiers. Le iop était à bout. Allongé par terre à côté du cadavre de sa petite amie, il avait du mal à respirer à cause de ses poumons encrassés par les flammes. Il frappa du point contre le sol et se jura de ne pas pleurer et de s'endurcir.

Il pensa à la manière dont la feu s'était déclenché, il en conclu que c'était d'origine criminelle, mais qui aurait pu faire ça ?

Un an plus tard, Zommari était bien vivant et plus fort, ses traits s'étaient durcis, il était plus puissant que jamais et avait perdu toute trace de sentiments. Il s'était aligné du côté d'Oto Mustam et agressait tous les bontariens qu'il croisait en essayant d'en tuer un maximum afin de canaliser sa haine de plus en plus envahissante. Il essayait de devenir plus puissant en foullant dans les archives des la bibliothèque de Brâkmar, il trouva des dossiers sur un couple surpuissant constitué d'un iop et d'une sacrieuse, ayant mis au monde un iop il y a 17 ans qu'ils eurent abandonnés six ans plus tard. Il devina que c'était ses parents et poursuivit sa lecture et remarqua qu'ils vivaient dans une maison dans un coin paisible d'Amakna. Il relu leurs noms: Helena et Ragalde. Il fit un grand sourire: c'est ce qu'il cherchait. Après une longue marche, Zommari se retrouva au zaap du village d'Amakna, il traversa la cité et demanda à plusieurs habitants si ils connaissaient le fameux couple.
Au bout de 30 minutes de recherches, il tomba sur une maison juste à côté d'un atelier de boulanger: il reconnu immédiatement la maison dans laquelle il avait grandi.. Il toqua et son père ouvrit. Il cru reconnaître son fils grâce à des traits physiques similaires à sa femme et à lui mais garda la bouche bée.


-Mon dieu...
-Tu as dû me reconnaître, je peux entrer pour m'assoir cinq minutes ?
-Je... Il n'eut pas le temps de finir sa phrase: son fils l'avait foudroyé d'une tempête électrique.
-Pourquoi ?

Zommari ne répondait pas et continuait de le frapper. Sa mère, une sacrieuse, arriva, et ne cherchant pas à comprendre, se jeta sur son fils et lui asséna des coups de pieds alors que son père le frappait à l'épée avec le peu de force qu'il lui restait. -Papa, Maman. Zommari finit le couple à l'aide d'une épée céleste et fit d'une pierre deux coups. Il observa les cadavres avec un air satisfait. -J'aurai pu avoir une belle vie mais je suis sortit du ventre de la mauvaise personne dit-il, en découpant l'abdomen de sa mère à l'épée. Il observa sa lame avec un sourire en coin. Il avait accompli un de ses objectifs personnels. Oto Mustam était fier de sa recrue. Cependant, il n'avait pas oublié l'incident survenu deux ans plus tôt. Un jour, il convoqua Zommari à la milice.

-Zommari, j'ai à te parler.
-Je vous écoute.
-Pour renverser Bonta, nous devons éliminer Amayiro. Sans celui-ci, l'équilibre des armées sera rompu.
-Et ?
-Et je compte sur toi pour m'accompagner.
-Aucun problème, peut être que ce sera un adversaire à ma taille.
-Très bien. Prépares toi, nous lancerons l'assaut la nuit tombée.

Au crépuscule, on pouvait déjà entendre tinter les armures des brâkmariens en train de marcher vers Bonta. Les soldats se cachèrent derrière la muraille en se faisant le plus discret possible. Oto Mustam était là, plus majestueux et effrayant que jamais.

-Première et seconde divisions, vous connaissez votre rôle, ouvrez la marche et lavez le chemin de tous les miliciens inutiles. Troisième division, vous vous occuperez des soldats alignés bontariens. Revêtez ces obvijevans pour tromper l'ennemi il leur lança une sacoche chacun. Quatrième division, j'ai fais exprès de n'inclure que des disciples srams dans votre groupe, vous vous infiltrerez dans les bâtiments afin de voler des informations ou de menacer la famille d'un chevalier trop dangereux pour nous. Zommari et moi, nous tuerons Amayiro.
-Bien chef ! ils répondirent tous en choeur.
-Pouuuur Brâkmaaaar ! hurla Oto Mustam.

Tous les soldats se ruèrent dans la cité en hurlant comme des barbares et en levant leurs armes au ciel. Oto Mustam observait l'avancement des soldats pour déterminer à quel moment intervenir. Pour le moment, il était aux côtés de Zommari, qui était inexpressif mais très concentré. Il ne pensait qu'à tuer. Les soldats bontariens furent mis au courant de l'assaut et débarquaient en trombe. Au commandes des anges, il y avait un iop avec l'épée pointée vers le ciel. Si ce n'était pas Amayiro qui les dirigeait, c'est qu'il devait voir arriver sa fin. Oto Mustam afficha un sourire satisfait.

-Zommari, allons à la milice.
Oto dégaina sa lame et étripa quelques soldats sur le passage. Zommari à ses côtés, ils entrèrent dans le bâtiment de la milice et aperçurent le zaapi et la statue. Les aventuriers qui venaient de boire une potion de téléportation se retrouvaient ici, ils se tournèrent vers les deux intrus.
-On fonce ! hurla Oto.


Les deux bêtes féroces mirent toute leur puissance à la tâche pour débarasser le chemin. Oto attirait les ennemis vers lui pour les tuer d'un coup dans le coeur pendant que Zommari invoquait la foudre à coups d'épées célestes. Au bout de cinq minutes, la zone était lavée de tout touriste et ils pénétrèrent dans la milice. Avant d'aller plus loin, Oto fit signe à Zommari de ne plus faire un pas, il obéit.


-Je dois t'avouer quelque chose.
-Faites vite.
-Je ne sais pas si après la révélation que je vais te faire, tu m'adorera ou tu me détestera.
-Hein quelle révélation ?
-Écoutes, je ne sais pas si tu me le pardonneras, mais c'est moi qui ai brûlé le temple il y a un an. Voilà, maintenant que c'est dit, continuons, Amayiro est proche.
Zommari n'avançait pas.
-Euh... Zommari ?

Oto Mustam eut à peine le temps de finir sa phrase que son disciple avait bondi derrière lui et lui assénait déjà des épées du jugement afin de lui voler sa force vitale.

-Arrêtes ça !

Oto se vit forcé de contrer et lui fit saigner l'abdomen. Zommari était déchaîné et bondit au loin pour l'attaquer avec son épée du destin. Oto le rattrapa et l'attaquait au corps à corps avant de battre en retraite.

-La priorité, c'est Amayiro, pensa t-il.

Zommari suivait Oto pendant qu'il cherchait son ennemi de toujours dans la milice, avant de la trouver à l'étage.

-Bats toi, Amayiro ! Le vieillard ne se laissait pas impressioner et se rua sur Oto, tout comme le faisait Zommari, par derrière.
-C'est quoi ce bordel ? Zommari, tues le, bon sang ! Il ignora les ordres et Oto Mustam était à terre, en sang. Il se releva péniblement, prit sa lame comme un poignard et tenta de le planter dans la poitrine d'Amayiro, il n'atteint cependant pas son but, stoppé par une attaque de Zommari, qui se jeta sur le cadavre de son supérieur en le ruant de coups.
-T'as gâché ma vie sale fils de **** ! il était en furie, inconsolable.

Amayiro l'observait calmement.

-Jeune homme, tu as beau m'avoir aidé dans la traque d'Oto Mustam, tu as tout de même tué un bon nombre de bontariens. Tu mérites une peine.

Zommari s'écroula au sol, exténué. Il sentit les miliciens le porter vers la prison mais n'avait pas le courage de se débattre. Il se réveilla en prison, aux côtés de quatre autres criminels, qui le regardaient bizarrement. Derrière les barreaux, des citoyens bontariens hurlaient. Il mit un petit moment avant de comprendre que c'était pour lui. Au milieu des familles en pleurs, il distingua quelques paroles.

-Va te pendre, iop de malheur !
-Tu va crever ici, et tant mieux !
-Si un jour tu sors je te fais la peau, t'as tué toute ma famille !

Zommari en déduit que les quatre divisions avaient péries car il n'avait jamais vu les prisonniers qui étaient à ses côtés, et, étant le seul capturé, les bontariens le considéraient comme unique responsable du massacre. Il observa son corps et ses blessures et se rendit compte que ses équipements lui avaient été confisqués.


Il fallait qu'il sorte de là, mais comment ?






[HRP] Commentaires obligatoires autorisés, mon tout premier RP sur dofus [HRP]
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lulyly

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MessageSujet: Re: [ONESHOT] Zommari, Maître de la foudre.   [ONESHOT] Zommari, Maître de la foudre. EmptyDim 9 Oct - 19:00

Bravo c'était très réussi cheers j'espère que tu cmpte ou faire une suite !
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[ONESHOT] Zommari, Maître de la foudre.

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