HRP : Voici la dernière partie que j'ai écrite. Maintenant je vais me remettre à écrire donc je ne posterais pas de chapitres tous les jours.

Partie 8 : Il y a quelque chose de louche

Teph se dirigea dans l'arène des gladiateurs la tête basse, en pensant à la mort, à ce qu'il aurait pu faire si il n'était pas venu ici, s'il avait rejoins Xalen... Il se dit alors pendant quelque seconde que le mal était mieux que le bien, plus facile, moins dangereux. Mais après il se rappela pourquoi Darakar continuait de se battre...Pour que les enfants des générations futures puissent vivre dans un monde où ils verraient le soleil chaque jour. Et c'était pourquoi il allait survivre dans le but de peut être devenir libre grâce à son talent au combat. Mais il ne savait pas une chose importante : C'était que son ami aussi n'y croyait plus à propos de Xalen, bien qu'il dressait un mur pour cacher sa déception.

Après avoir enfilé son armure, Teph entra dans l'arène la boule au ventre. Il arriva en son centre et salua le roi par pur hypocrisie, car il savait que c'était à cause de lui si il se retrouvait dans ce dangereux endroit. Son adversaire arriva, un Xélor...Plus grand que lui ! Oui ce Xélor faisait une tête de plus que lui, mais le valeureux guerrier ne se laissa pas impressionné et lui adressa un regard perçant en serrant son épée le plus fort possible. Ils se saluèrent, s'éloignèrent et le combat commença. Le Iop fonça sans hésiter et frappa le maitre du temps de plein fouet au cœur...Mais il s'était déjà téléporté derrière lui et lui fit quatre rayons obscurs. Le guerrier fut expulsé contre un mur de l'arène la tête la première, puis, avant même de se relever, se pris deux aiguille dans chacun des coins de ses vêtements se qui le cloua au sol. Le Xélor arriva en se téléportant et allait tuer Teph mais il se prit tempête de puissance qui ne firent que l'éjecter, Teph étant de l'élément terre. Le Iop fonça sur lui mais se se stoppa sans le vouloir : le temps était arrêté. Le maitre du temps se téléporta toujours vers lui il fallait que le guerrier trouve une solution et vite. Ça y est il en avait une ! Il attendit que son adversaire soit au corps avec lui et il usa toute ses forces à bouger les lèvres et dire :
-Colère...de...Iop...
Le Xélor valsa en l'air et atterri empalé à un des piques de la barrière, le tuant sur le coup. Le guerrier avait eu très chaud, et ça n'allait pas s'arranger au fil des combats, c'était certain. Le roi, situé dans sa loge applaudit le plus discrètement car il aurait aimé que Teph perde. Pourquoi ? Personne ne le sait. Après un bref instant il prit la parole :
-Bravo petit être inférieur. Mais ne crois pas surtout que tu as le moindre talent, tu n'as eu que de la chance.
-Et vous ne croyez surtout que vous méritez d'être roi.
-Qu'as tu osé me dire ?
-Un roi est quelqu'un de noble prêt à aider ses habitants et ne pas faire de racisme envers les races en faisant s'entretuer l'une et chérir l'autre.
-Tu vas trop loin ! Demain tu combattras mon plus puissant guerrier demi-dieu ! Prépare-toi à mourir !
Teph n'avait pas du tout l'air d'avoir peur, c'était plutôt la haine qui l'envahissait. Il hésita à lancer son épée dans la tête du roi, mais il se dit qu'il s’attirerait beaucoup trop d'ennuis d'un seul coup. Alors il se contenta de défier du regard sa majesté, puis tourna les talons et passa la porte de l'arène. Il enleva l'armure qu'on lui avait mise et sortit pour rejoindre Darakar là où sortaient les spectateurs. Ensemble ils allèrent à une auberge et se mirent à une table pour discuter. Darakar fut le premier à parler :
-J'ai interrogé quelques personnes par curiosité pour voir s'ils aimaient voir combattre des gens innocents. Et bien ils trouvent ça tous barbares mais ils sont obligés de venir où ils finissent exclu de la cité. Puis je leur ai demandé s'ils combattaient Zorrag. Tu vas pas le croire...Le roi leurs interdit strictement d'intervenir dans les combats où il y a les armés de Zorrag, sois disant pour qu'ils ne se blessent pas. Et c'est comme ça depuis que ce roi est arrivé.
Teph but d'abord entièrement sa bière avant de répondre :
-Ce roi est étrange, à quoi bon entrainer des soldats si c'est pour ne rien faire...Il y a quelque chose de louche.
Fov, qui était entrain de dormir se réveilla par le bruit d'un verre cassé par quelqu'un bourré. Alors il mit son grain de sel dans la discussion.
-Si ce roi vous semble tellement étrange et bien je vous conseil de le suivre ensemble après que Teph ai battu ce demi-dieu.
-Mais c'est le plus puissant de toute la cité ! Si ça tombe il est plus puissant que Goultard !!! Répondit Teph.
Il ne s'étaient pas rendu compte combien il avait élevé la voix car à cause de ça tous les regards se portèrent sur lui. Après un moment les gens le quittèrent du regard et les deux Iops reprirent leurs discussion. Fov continua de parler :
-Oui il est surement puissant, mais il faut absolument que tu le batte. Bref, une fois que Teph aura battu son adversaire vous suivrez tous les deux le roi jusque dans ses quartiers personnels. Il n'y a aucun garde dans cette pièce mais il y en a beaucoup en dehors. Surtout faites vous discret, surtout toi Darakar ! Je ne crois pas que la cité verrait d'un bon œil que leur lueur d'espoir s'infiltre dans le palais de leur chef. Ils pourraient croire que tu veuillent le tuer pour prendre sa place !
Darakar et Teph avait parfaitement compris le plan de Fov et ils avaient pris leur décision : Demain après que Teph ai vaincu son adversaire, ils démasqueraient le roi de cette cité.

A suivre...

épique!

Ce combat, cette musique (qui fini juste au bon moment) c'est génial.^^

C'est ton RP et je sais pas si c'est réellement "MON" épée que j'avais à ce moment, mais selon les RP que j'avais fait dans un temps lointain(et qui sont tomber dans l'oubli éternel depuis) mon épée ne devrait pas se reconstruire...Et elle ne devrait pas cassé en même temps, mais je te pardonne car j'adore la phase même si je ne pouvais m’empêcher de ne pas me retrouver exactement, c'est toi qui écrit et donc c'est forcément différent. ^^

Sache que j'ai passé une heure pour synchroniser la fin avec le RP, je me suis limite arracher les cheveux x)

Par contre Teph, ton épée brûle toujours si quelqu'un la prend dans mon RP

Si tu veux faire intervenir ceci, n'oublie pas qu'elle ne brule pas littéralement mais qu'elle devient juste insupportable a tenir en main par quelqu'un d'autre...(A moins que je sois mort x) )

GENIAL GENIAL la suite ! bravo Teph quel volonté ! Par contre désolé pour tes efforts mais je lis trop vite la musique a fini 15 secondes avant

Donc tu lis au même rythme que moi ^^

je lis sans doute plus ou moins au même rythme moi aussi, mais j'ai inexplicablement bugué sur une phrase plutôt clair et j'ai du la relire plusieurs fois.

Darak (ok pour le surnom ?) avait prévu pile pour toi !

Je suis son pote, son compagnon de bataille et son lecteur asidu, c'est normal!
^^ (et j'ai la super classe :p https://i.servimg.com/u/f68/12/28/55/24/comman10.jpg )

C'est vrai que t'es bien * ne sait pas quoi dire pour pas vexé*
bon stop flood sauf si le chef veut bien

Le chef c'est moi :c

Teph est tout simplement un des seuls lecteurs qui me suit depuis le début et qui connaitra la fin de l'histoire, bien sûr BT Radio connaitra la fin

ben je sais je parlais de toi !

HRP : Yassine aussi me suit depuis le début, merci mec :3

Partie 10 : Il ouvrira le chemin vers la liberté !

Teph venait de rejoindre Darakar devant l'arène en boitant. Il était trop blessé pour aller dans la tour du roi et y affronter les gardes. Alors il laissa l'élu s'en charger seul et parti à l'infirmerie avec son pas boitant. Darakar continua seul vers la tour. Mais alors qu'il était à mi-chemin on lui tapota sur l'épaule par derrière. C'était un grand Sacrieur bronzé, sans foulard, les cheveux bleus décoiffés avec des bandages sur les abdominaux.
-Eh toi, viens avec moi. [i]Dit le Sacrieur
-Euh...Mais tu m'as même pas dis qui...Ouaaah attend !
L'homme l'avait prit par le bras et l'emmenait vers un groupe de personne de toute classe, faisant en tout dix-huit. Ces hommes affichaient un sourire de combattant et étaient assis sur un banc publique dans la grande place de la cité. Ils acclamèrent le Iop dès qu'ils le virent. Darakar fit semblant de sourire, mais il ne savait pas vraiment ce qu'il se passait, peut être était-ce encore des gens qui voulaient l'encourager dans son futur combat avec Zorrag. Le Sacrieur passa son bras par dessus l'épaule du guerrier et cria:
-Eh les gars, lui c'est Darakar ! Le Iop le plus puissant du monde qui ouvrira le chemin vers la liberté en ces temps sombres !
-OUAIS !!
Darakar mourrait d'envie de dire la vérité au Sacrieur et ses amis, leurs avouer qu'il n'était pas fait pour cette tâche, que n'importe qui serait plus déterminé que lui...Mais il ne voulait pas briser les espoirs des personnes de cette époque. Alors il garda tout ça en lui et fit mine d'avoir confiance en lui, puis le Sacrieur lui dit :
-Eh t'allais où comme ça ?
-Oh euh...Voir mon ami à l'Hôpital, celui qui avait combattu dans l'arène et tué Kluh. Répondit l'élu timidement, mais tout le monde savait qu'il mentait, l'Hôpital était dans la direction inverse où il allait.
-Allez, me ment pas mec. Tu te dirigeait vers la tour du roi, tu voulait lui parler ? Ou peut être le renverser ? Sache que si tu veux lui prendre sa place, j'suis avec toi. Ce gars est bizarre, il nous fait nous entraîner, nous les guerriers, pendant plusieurs heures et pourtant il ne nous envoie presque jamais combattre les troupes de Zorrag alors que nous sommes les seuls à avoir une véritable chance de le vaincre...
Darakar commençait à craquer, il aurait aimé avoir de l'aide pour sa tâche contre le roi. Mais Fov lui murmurait de ne rien dire. Or, le Iop ne fit comme si il n'entendait rien et avoua tout au Sacrieur.
-Je vais te le dire. Je vais dans la tour du roi pour pouvoir avoir une preuve qu'il est sous les ordres de Zorrag, car un homme comme ça est très étrange pour moi.
-Très bien je t'accompagne mec ! Je vais enfin pouvoir lui péter la gueule ! Ah au faite, je m'appelle Korizan.
Darakar allait emporté un vrai boulet avec lui, il en était certain...Mais cette homme, bien qu’inlassablement entrain de faire des discours incompréhensible, semblait avoir un véritable caractère, avoir la vraie virilité en lui. Les deux « compagnons » arrivèrent devant la tour. Ils ne pouvaient pas entrer par la porte principale, elle était verrouiller par trois cadenas et plus de quinze gardes...Le roi avait vraiment quelque chose à cacher. Alors ils se firent discret et contournèrent vers une maison proche de la tour avec un toit assez bas, que le Iop et le Sacrieur pouvaient facilement escalader. Il montèrent dessus en attrapant les tuiles par les mains et, dans une puissance phénoménale, se hissèrent jusqu'en haut. Ils avaient l'intention de sauter le plus loin possible et s'accrocher au mur. Darakar devait y aller le premier.
-Tu vas pas y arriver, tu vas pas y arriver... Dit Fov, l'air avertisseur.
-Ça me donne confiance, Fov. Répondit Darakar d'un ton grincheux.
Darakar prit tout l'élan qu'il pouvait, courut comme jamais, et sauta quand il avait atteint le bout du toit. Il avait des difficultés à contrôler son saut, et il avait le sentiment d'aller un peu trop vite. Il allait s'écraser contre le mur ! Malheureusement il ne pouvait empêcher ça et il transperça une vitre au deuxième étage puis roula sur plusieurs mètres emportant avec lui les éclats de verre. Ça y est il était dans la tour. Peut après, Korizan le rejoignit en faisant les même acrobaties mais en retombant beaucoup plus gracieusement. Ils étaient dans un grand couloir donnant sur plusieurs portes avec un escaliers descendant en colimaçon sur la droite. Personne ne les avaient entendu, mais ils entendirent quelqu'un monter l'escalier. Vite, ils se cachèrent dans une porte au hasard...Elles étaient toutes verrouillés ! Alors Korizan se mit contre le mur qui donnait sur l'escalier et dès que l'homme qui montait l'escalier arriva, lui mit un poing dans le nez le faisant se cogner contre le mur et l’assommant. Darakar s'occupa de cacher le corps en enfonçant une porte n'ayant, par chance, personne dans la pièce. Darakar et Korizan montèrent les escaliers vers l'étage suivant qui comportait cette fois-ci une salle bien plus grande que la tour n'aurait pu contenir...Même Korizan ouvrit de grand yeux ronds. Sur les deux côtés de cette salle rouge et blanche, se trouvait des escaliers montant vers un balcon intérieur (donnant sur le bas de la salle). Derrière eux, se trouvait une porte avec une énorme poignée où des voix sortaient du bois épais. La voix de...de Xalen. Ca ne faisait plus aucun doute, le roi de cette cité devait être de mèche avec lui ! Darakar transperça la porte d'un coup d'épée en piquet ce qui le fit passer au travers. Il était dans les quartiers exactement à la même place que quand il avait parlé au roi, qui se figeait, atterré. Derrière lui se trouvait un homme à la démarche boiteuse, la majeur partie du corps caché par sa cape noir mais néanmoins troué, laissant voir non pas un corps de chair, mais rien qu'un squelette devenu jaune avec le temps : Xalen, alias Zorrag. L'homme qu'il devait tuer se trouvait là devant lui, il fallait que les deux rivaux en finisse. Zorrag dit d'une voix très douce, presque chaleureuse :
-Oh, Darakar, je ne savais pas que tu venais. As-tu enfin réaliser que tu n'avais aucune chance contre moi et est-ce pour ça que tu es là ?
-Zorr...Xalen, je ne me découragerais jamais, je sais que je ne peux pas perdre. La voix de Darakar laissait deviner qu'il mentait, qu'il savait que c'était foutu. D'ailleurs, fini on en sur le champ ! Je te provoque toi et moi en duel !
-Je sais que tu n'y crois plus Darakar. Je sais aussi que tu aurais préféré que ton père, le dieu Iop, ne te confit pas cette mission.
Ces paroles avaient révélés le plus grand secret de l'élu...Korizan le regarda, transpirant de peur. Même Fov le regardait d'un air étonné...Voilà ils savaient. Darakar fonça sur Xalen mais le roi sortit son marteau et le projeta dans le ventre du Iop, le faisant retomber à son endroit d'origine.
-Le maître des ténèbres a des plans très prometteur. Il voudrait offrir un monde rien qu'aux demi-dieux en supprimant ce monde.
-Je croyais que le bute d'un demi-dieu était de défendre les Dofusiens « normales » contre les menaces extérieurs, pas de les rejoindre ! Dit brutalement Korizan.
Darakar ignora la conversation et s’élança à nouveau vers Zorrag en infligeant un coup de pied retourné au roi sur son chemin. Il prit le Sram par les épaules et se jeta avec lui dans le vide en transperçant la vitre. Ils n'étaient pas fichu, Zorrag se transforma en la traînée d'ombre qui le faisait volé, cette fois-ci avec le Iop. Ils s'infligeait divers coups de poings dans le visage, démolissant les toits des maisons après leur passage. Ils heurtèrent un mur et furent tout deux jetés à terre. Ils prirent leurs épées en même temps et chargèrent. Mais le Sram se rendit invisible et donna un coup de poing dans la joue du guerrier. Puis il le prit par le col, toujours en étant invisible et le lança contre le mur d'une habitation. Darakar se releva difficilement, mais n’eut pas le temps de prendre son arme qu'il sentit une immense douleur le traverser : Un piège mortel qui l'acheva. Il était à terre, les yeux à peine ouvert, la respiration presque impossible avec son épée à plusieurs mètres de lui. Il rampa pour attraper son arme, mais Zorrag lui donna un coup de pied dans le visage...

A suivre...

Mon Dieu (non ce n'est pas un jeu de mots) il est en mauvaise posture

Darakar, DARAKAAAAAARR! Noooon!

Génial, j’attends la suite en m’arrachant les cheveux d'impatience!

Voici une image de Korizan : http://farm2.static.flickr.com/1086/867035293_0339cf0ae3.jpg

J'aime bof je lui trouve un tronche de mec qui à trop confiance en lui !

P.-S: ben moi je peux te suivre que quand tu postes sur le forum alors...

c'était pas toi ça normalement?

Non moi j'suis un Iop avec les cheveux rouge :p

La suite, la suite!
*s'impatiente*

Presque fini, t'inquiète !

super vivement la suie

HRP : Ouais, ça y est c'est posté et c'est tout beau : LA SUITE !

Partie 11 : Je vais te montrer si c'est la chance qui m'a donné la force de te vaincre !

Darakar était fichu, son épée était hors de porté de sa main et Xalen lui envoya un coup de pied dans le visage après s'être avancé vers lui. Voilà, il avait encore perdu contre Xalen et il allait mourir, cette fois-ci pour de bon...Le sram savourait sa victoire et ricana.
-Ah, Darakar, Darakar, Darakar...Qu'est ce que tu peux être faible, je ne sais d'ailleurs pas comment tu as battu Halgar avec cette force. Provoquerais-je en toi le désespoir rien qu'en te montrant ma puissance ?
Darakar ne répondit pas, Xalen avait entièrement raison...Le Iop était désespéré dès qu'il pensait à son ennemi. Il ne méritait pas d'être le propriétaire de Fov. Le sram s'avança vers lui, s’accroupit mais se releva finalement.
-Non...Se serait trop facile. Profite de ma pitié, Darakar. A notre prochaine rencontre je te tuerai.
Le Iop n'en croyait pas ses oreilles. Zorrag avait décidé de l'épargné ? Xalen était-il intervenu ?...Zorrag n'était pas connu pour être indulgent. Soudain un homme mort traversa la vitre du haut de la tour : C'était le roi, Korizan l'avait tué. Aussitôt le Sacrieur descendit les escaliers, sortit de la tour puis courut vers Darakar pour l'aider à se relever. Darakar avait honte de lui, il s'était littéralement fais écraser par Zorrag, encore plus facilement que les autres fois...Et dorénavant Korizan savait tout. Mais le Sacrieur jura de ne rien dire, et il regardait étonnement toujours son ami de la même façon : Des yeux redonnant espoir avec un sourire de combattant.

Ils arrivèrent à l'Hôpital où Darakar passa en soins intensifs. Les personnes de la cités faisaient toutes la fête, les gens recevaient leurs amis, bref la cité était heureuse comme-ci Zorrag était vaincu...Mais ce n'était pas le cas, et il devenait au contraire plus puissant.

Darakar finit par s'endormir tard le soir. Soudain d'autres images apparurent dans son sommeil, ces images lui étaient toujours inconnues. Il se retrouva sur une plateforme gigantesque dans le néant, allonger sur le ventre avec une épée familière devant son visage : Fov, mais il était comme quand Darakar venait de l'avoir, quand il avait sept ans. Au bout de cette plateforme, tournant lentement autour du Iop, se trouvait non pas Zorrag comme il l'attendait mais Halgar sous sa forme enflammé mesurant plus de dix mètres et armé de Istos lui aussi d'une taille démesurée, prêt à en découdre. Celui-ci dit :
-Ah Zorrag, qu'est ce que tu peux me faire pitiez dans cette position, et désarmé en plus...Comment as-tu pu tenir si longtemps devant mes affronts...Je vois que je me suis trompé, tu n'as aucun talent, ce n'est que la chance qui t'as amené ici.
-J'vais te montrer si c'est la chance qui m'a donné la force de te vaincre, enfoiré !!
Darakar s'aperçut qu'il ne contrôlait ni ses paroles, ni ses gestes, c'était comme-ci il était tiré par des ficelles. Alors comme ça, il incarnait Zorrag...Le guerrier prit son épée et se rua sur Halgar, mais se fit balayer en arrière, le projetant cette fois-ci sur le dos. Il recommença une offensive qui se termina par le même résultat. Halgar s'approcha laissant des traces enflammé là où il marchait. Darakar n'allait pas mourir car incarnant Zorrag, si celui-ci mourrait, il n'aurait pas pu causer tous les méfaits d'aujourd'hui.(lancez cette musique : https://www.youtube.com/watch?v=vRe3h1iQ1Os&feature=related ) Alors qu'Halgar allait écraser le guerrier, une Féca aux longs cheveux blonds et un accoutrement écarlate bloqua le pied. Darakar dit sans rien contrôler :
-Silvya, qu'est ce que tu fais !!!
-Zorrag, ne pleures pas pour moi, mon âme qui s'est déjà noyée dans un océan de désespoir a pu revenir jusqu'ici ! Si je peux t'aider à créer un avenir pour tous les Dofusiens, alors je serais comblé !
-NON SILVYA !!!
Trop tard, Silvya avait poussé Darakar et s'était fais écraser, transperçant ainsi la plateforme et faisant tomber son cadavre dans le vide. Darakar sentit sa colère monter comme jamais et une gigantesque vague d'énergie verte sorti de son corps. Cette énergie se matérialisa en une énorme silhouette verte au dessus de lui prenant peu à peu sa véritable couleur. Darakar s'était transformé en un gigantesque homme blanc surmusclé recouvert d'une fine fourrure blanche avec une tête de loup, et une immense crinière blanche derrière sa tête. Il était exactement de la même taille qu'Halgar. Le valeureux guerrier prit alors son épée qui s'agrandit comme jamais et fonça sur son ennemi puis au dernier moment lui mit un uppercut. Halgar tenta une offensive mais Darakar bloqua l'épée sans aucun contrôle de lui même. Halgar semblait impressionner.
-Comment as-tu atteint cette puissance ?!
-Ma puissance n'a d'égale que ma soif de vaincre, je suis l'homme qui détruira chaque mur qui se dresse devant moi, par la force de mon épée ! Je suis Zorrag, je suis l'élu ! ET JE VENGERAI TOUS CEUX QUI SONT MORTS PAR TA LAME !!!
Leurs épées se brisèrent mais se régénérèrent aussitôt et de plus en plus vite à force que leurs coups devenaient plus rapides. Soudain, les épées des deux adversaires grandirent tellement qu'elles étaient plus grandes qu'eux mêmes. Il firent tous les deux un bond en arrière, sautèrent puis foncèrent en vrille l'un vers l'autre, jusqu'à ce que leurs lames se rencontrèrent. Il restèrent au moins cinq minutes à voir qui céderait en premier, aspirant les étoiles tellement leur choc était puissant. Puis l'épée de Darakar se fissura...Mais elle se régénéra et grandit, brisant la lame de Halgar et le coupant en deux. Ça y est, Halgar était vaincu. (coupez la musique) Mais une fumée violette foncée sorti du cadavre, murmurant des choses à Darakar, des choses que lui même ne comprenait pas mais
une immense rage bouillonnait en lui. Il voulait détruire tout ce qu'il voyait, femme ou enfant, peut importe. Tout détruire, oui, anéantir les gens faibles de ce monde, ne laisser vivre que les demis-dieux. Voilà la nouvelle quête de Darakar. Ce qui semblait être ses troupes, le rejoignirent. Ses amis...Non, Darakar n'avait pas d'amis et aucun être vivant ne mérite de l'être. Le guerrier reprit sa forme humaine et s'approcha de son armée. Il planta son épée dans le sol créant une onde de choc qui balaya les premières lignes des troupes. Puis il tournoya sur lui même, faisant une tornade jetant dans le vide d'autres soldats. Les plus courageux foncèrent sur lui mais se firent tuer par un mouvement d'épée circulaire. Il donna ensuite un coup de pied si fort dans le sol que la plateforme se fissura en deux, puis en quatre...Jusqu'à ce qu'il ne reste que de minuscules bouts où ne pouvait poser qu'une pointe. Darakar s'enfuit par un portail qu'il fit grâce à son épée. Ses troupes étaient morte, car ils ne méritaient pas de vivre. Tout à coup Fov prit la parole :
-Zorrag, toi qui m'as utilisé moi, Fov, pour faire le mal, je te confisque tes pouvoirs et te banni !
-Qu'est ce que ?...AAAAH !
Le guerrier tomba dans un précipice et son épée se volatilisa.

Puis Darakar se réveilla en sursaut, le soleil venant à peine de se lever et passant au travers de ses rideaux. Il demanda :
-Fov....Qui était ton possesseur avant moi ?

A suivre...

génial ! génial ! dont pour trouver l bonne miusique (ou bcp e recherche^^)

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